Bonjour à toutes les femmes: un sujet délicat et une prise de position délicate aussi.
Aucun contraceptif n'est fiable à 100%: un fait scientifique.
Il y a des règles strictes, d'abord par rapport aux semaines de grossesse et il existe l'IVG thérapeutique: danger pour la maman.
Accepter l'IVG, comme l'exemple cité, en cas de handicap de l'enfant à naître: OUI, si les médecins sont d'accord.
Je peux prendre 2 ex. connus::- une famille presque voisine, parents médecins tous les deux, avec 3 enfants déjà, ils ont accepté leur petite fille, sachant qu'elle serait trisomique. C'est leur choix et leur droit. J'ai croisé cette famille avec le landau: comme je fais souvent, je dis avec un sourire à la maman "un tout petit bébé sans doute". Et un des garçons dit avec joie: "regardez, monsieur, c'est Thérèse et elle est trisomique". Pris de court, j'ai dit: "ah oui, elle sera jolie comme tous les enfants et avec ses frères". Les parents sont catholiques, certes, mais leur décision était aussi basé sur le fait qu'ils sont capables, moralement et financièrement, d'élever cet enfant et le suivre dans ses progrès.
Plus proche: ma fille aînée pour une première grossesse, il y a par les écos en couleurs le constat d'une grave malformation cardique, qui porte un nom propre que j'ai oublié, mais avec des variantes assez complexes. La question a été posé par les médecins. Associé à cette malformatin, il y a de plus un risque de trisomie. Ma fille, de par l'amniosynthèse (?), a su que ce ne serait pas le cas à 95%.
Ils sont allés jusqu'au bout, résidant plusieurs semaines chez nous pour être près de l'Hôpital Necker. Notre Julien est ainsi né, il y a sept ans de cela. Moins d'une semaine après, première intervention importante, resté plusieurs semaines à l'hôpital. Deux ans après, nelle intervention reussie. Probablement une ultime lors de son adolescence.
Ces deux cas sont la décision de parents, que nous n'avons pas le droit de contester. Il en va de même pour des décisions qui auraient pu être dans l'autre sens.
Là encore, ns n'avons pas à de juger dans un sens ou l'autre.
Le deuxième sujet délicat reste l'euthanasie ou le suïcide assisté. Dans les pays plus progressistes,
aucune dérive n'a été constatée. Pour mémoire, sur handicap.fr, en 2008, il y a eu pendant plusieurs semaines des échanges sur ce sujet. Au point de devenir très polémiques et où certains forumeurs dépassaient les bornes en s'en prenant à d'autres, avec violence, insultes, sans retenu.
J'oubliais la "pilule du lendemain": longtemps combattu et maintenant disponible au travers de l'infirmière dans les écoles importantes et sur prescription du médicin sans exiger l'accord des parents pour les mineurs.
Ce n'était que mon opinion.
Un peu de fun: je savais que les bébés ne sortent ni des choux ni des roses. Découvert ce matin seulement: des poussins non plus!