Forum de discussions, d'entre aide pour les personnes en situation de handicap et ceux qui les entourent. |
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| Handicap, euthanasie et justice. | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Lun 22 Nov - 20:08 | |
| Par hasard !!! je trouve ce lien par hasard = http://gerontoprevention.free.fr/articles/findevie.pdf |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Lun 22 Nov - 20:40 | |
| www.palliatif.org/content/view/11/29/ - intéressant aussi.. ! ! !.. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Lun 22 Nov - 20:55 | |
| Il n'y a que dans un forum presque mort que l'on peut poster des trucs sur l'euthanasie !!!... ailleurs c'est IMPOSSIBLE... No comment. |
| | | dan
Nombre de messages : 19 Date d'inscription : 26/11/2008
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Mar 23 Nov - 4:17 | |
| Bonjour au passant Laurent et Patricia
Ces écrits ne relatent que la réalité des choses, dites clairement on peut imaginer que nous pouvons espérer une fin paisible et sans souffrances. Il est bien dommage de constater que ce sujet fait peur ou engendre des crépages de chignons. On discute plus facilement d'un héritage, le terme est moins agressif ?? la vie est la vie ; ellle commence un jour et finira inexorablement un autre jour.
excellente lecture encore, merci, Patricia | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Mar 23 Nov - 11:36 | |
| HI HI HI ! ! ! ! ! !!! ! ! !...l'héritage...! ! ! !!! ! ! !... on est plus ou moins obligé d'en discuter...pour se bagarrer inévitablement.. Décès = héritage = problèmes familliaux....c'est " la loi"... hi hi hi.... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Mar 23 Nov - 11:51 | |
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Pour notre part, nous considérons que la mort est inhérente à la vie et qu'elle n'est pas toujours la conséquence d'un dysfonctionnement physiologique. Ainsi le rapport du médecin à la mort est-il double : s'il est de son devoir d'éviter à son patient de succomber aux conséquences d'une affection curable, il lui revient aussi de l'aider dans cette phase naturelle et normale de la vie qu'est la mort.
Aussi nous estimons que l'euthanasie ne contrevient pas au serment d'Hippocrate, bien au contraire : il place, jusqu'à la limite ultime, le patient au coeur des actes médicaux réalisés par le médecin.
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Pour notre part, nous considérons que la mort est inhérente à la vie et qu'elle n'est pas toujours la conséquence d'un dysfonctionnement physiologique. Ainsi le rapport du médecin à la mort est-il double : s'il est de son devoir d'éviter à son patient de succomber aux conséquences d'une affection curable, il lui revient aussi de l'aider dans cette phase naturelle et normale de la vie qu'est la mort.
Aussi nous estimons que l'euthanasie ne contrevient pas au serment d'Hippocrate, bien au contraire : il place, jusqu'à la limite ultime, le patient au coeur des actes médicaux réalisés par le médecin.
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Pour notre part, nous considérons que la mort est inhérente à la vie et qu'elle n'est pas toujours la conséquence d'un dysfonctionnement physiologique. Ainsi le rapport du médecin à la mort est-il double : s'il est de son devoir d'éviter à son patient de succomber aux conséquences d'une affection curable, il lui revient aussi de l'aider dans cette phase naturelle et normale de la vie qu'est la mort.
Aussi nous estimons que l'euthanasie ne contrevient pas au serment d'Hippocrate, bien au contraire : il place, jusqu'à la limite ultime, le patient au coeur des actes médicaux réalisés par le médecin.
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Pour notre part, nous considérons que la mort est inhérente à la vie et qu'elle n'est pas toujours la conséquence d'un dysfonctionnement physiologique. Ainsi le rapport du médecin à la mort est-il double : s'il est de son devoir d'éviter à son patient de succomber aux conséquences d'une affection curable, il lui revient aussi de l'aider dans cette phase naturelle et normale de la vie qu'est la mort. Aussi nous estimons que l'euthanasie ne contrevient pas au serment d'Hippocrate, bien au contraire : il place, jusqu'à la limite ultime, le patient au coeur des actes médicaux réalisés par le médecin. Extrait du texte sur la proposition de loi pour l'euthanasie volontaire. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Mar 23 Nov - 12:06 | |
| Oups,le copier-coller semble "capricieux". Ce passage me paraît tellement juste que je le laisse en plusieurs "éditions". J'aimerais beaucoup que le Conseil de l'Ordre en fasse un article à insérer dans le Code de Déontologie Médicale Car dans le milieu médical,tout n'est pas écrit noir sur blanc... C'est peut-être là que le bât blesse |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Mar 23 Nov - 12:30 | |
| Il faut être logique Il y a une loi bioéthique à propos des Interruptions Médicales de Grossesse On demande aux parents s'ils se sentent capables d'élever un enfant handicapé On pourrait poursuivre le même raisonnement si des adultes gravement handicapés se sentent incapables de continuer à vivre dans leur état.Ils sont tellement dépendants qu'ils n'ont pas le moyen de se suicider..Dans ce cas,l'aide active à mourir prend son sens. Les I.M.G. sont bien une exception d'IVG...! ! !... Donc on peut très bien légaliser une exception d'euthanasie active directe dans les cas extrêmement gravissimes,si en plus le patient la réclame |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Mar 23 Nov - 13:03 | |
| Jusqu'à présent,"il est écrit" que le médecin "n'a pas le droit de provoquer délibérément la mort".Mon Dieu,quelle pure CONNERIE ! Connaîssez-vous des médecins à l'instinct meurtrier ??? Le toubib fait ce qu'il peut,il soigne pour guérir,et s'il ne parvient pas à la guérison,il soigne en soulageant.. et quand la Mort avec un M majuscule arrive,logiquement il devrait faire un acte spécifique,pratiquer la mort douce et rapide pour que le patient ne souffre pas. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Mar 23 Nov - 13:08 | |
| Il ne faut pas oublier que traditionnellement les essais thérapeutiques se font d'abord sur les animaux de laboratoire,et après sur les mourants... ... ... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Mar 23 Nov - 18:02 | |
| L’euthanasie et le droit Simon de CHARENTENAY
Le décès de Chantal Sébire relance le débat juridique sur la fin de vie. Les demandes répétées qu’elle avait adressées aux pouvoirs publics afin de l’assister dans une démarche d’euthanasie étaient restées sans suite. L’entourage du Président de la République, auquel Mme Sébire s’était directement adressée, s’était montré embarrassé face à la question et renvoyait aux solutions préconisées par la loi Leonetti de 2005, adoptée suite à l’affaire Vincent Humbert. La loi Léonetti prévoit, sans entrer dans les détails médicaux, une sorte de « droit de laisser mourir », c'est-à-dire ne pas forcer un corps à vivre, sans pour autant légaliser l’euthanasie, qui reviendrait à autoriser la provocation prématurée de la mort. En France donc, ni Vincent Humbert ni Chantal Sébire, ni les 15000 morts par euthanasie clandestine évalués chaque année, ne peuvent se prévaloir d’un dispositif juridique pour mourir dignement. Le manque de dignité de ces personnes malades qui demandent à être euthanasiées, est en effet le principal argument que défend l’association pour le droit de mourir dans la dignité. Il faut par ailleurs mentionner que l’Europe n’est pas à l’unisson en la matière dans la mesure où le Danemark, le Luxembourg, certains cantons suisses et surtout les Pays-Bas et la Belgique sont particulièrement avancés dans la reconnaissance, au moins pour les deux derniers pays, d’un véritable droit à l’euthanasie médicalement assistée.
La question récurrente, dans toutes les rédactions et dans toutes les têtes qui s’interrogent, est celle de savoir si oui ou non il faut légaliser l’euthanasie ? Faut-il donner une réponse juridique à une problématique éthique ? Comment et laquelle ?
Il est significatif de voir que les résistances à la reconnaissance de l’euthanasie dans la loi, autrement dit à la consécration d’un « droit de mourir », se concentrent sur une question de principe. A l’écoute de chaque débat, à la lecture de chaque entretien, il devient indéniable de constater que c’est le principe de la reconnaissance juridique de l’euthanasie qui pose problème. En effet, tous les adversaires d’un droit de mourir estiment incidemment que si Chantal Sébire s’est elle-même donné la mort, elle avait certainement ses raisons personnelles d’agir ainsi. Mais pour eux, si les faits – privés – sont acceptables, le principe – public – d’une loi ne l’est pas. La loi collective ne doit pas autoriser la mort.
En revanche, il y a plusieurs arguments qui militent en faveur de l’euthanasie. Le principe de réalité conduit à accepter une évidence et à encadrer juridiquement l’assistance jusqu’ici illégale des 15000 morts volontaires annuels. En outre, le respect de la liberté individuelle force à laisser librement disposer de leur corps ces personnes, a fortiori si la souffrance est insupportable. Le fait de pouvoir mourir « dignement » c'est-à-dire de mettre fin à sa vie sans subir l’horreur de la déchéance physique, peut aussi être mentionné. Enfin, il est aussi possible de constater que les néerlandais et les belges ne semblent pas subir un traumatisme collectif après avoir légalisé l’euthanasie.
Et puis il y a un argument de théorie du droit. Ce dernier vise à faire sauter le verrou naturaliste qui se dissimule derrière le refus de l’encadrement juridique de l’euthanasie. En effet, force est d’admettre que c’est le principe même de la reconnaissance dans la loi, davantage que les faits réels pratiqués illégalement qui heurtent la conscience de ceux qui préconisent le statu quo législatif. L’euthanasie maquillée de Mme Sébire, qui a absorbé un produit dont la commercialisation est interdite en France, n’est pas condamnée par ces derniers qui ont même de la compassion pour la patiente tout en refusant que les principes subissent l’évolution d’une nouvelle évaluation des faits. L’hostilité à la reconnaissance du droit à la mort est un combat idéologique qui consiste à refuser une loi autorisant l’euthanasie au nom de certains principes qui l’interdiraient. En somme, alors que les défenseurs de l’euthanasie invoquent une révision de l’évaluation des faits, ses adversaires récusent cette nouvelle évaluation en se situant au niveau des principes. Autrement dit, les uns demandent à ce que l’on change de position sur des faits et que l’on en tienne compte dans la loi, confirmant la relativité de la valeur qu’on accorde aux faits, alors que les autres voilent leur jugement d’une immuabilité dogmatique soutenant l’objectivité de la valeur conférée à la mort.
Contre cette position dogmatique, il convient de rappeler qu’aucun principe intangible ne peut être inexorablement fondu dans la matière juridique. Le droit ne réifie pas les valeurs qu’il véhicule sauf à penser indûment qu’il serait envisageable d’opposer, en se servant de la commode plasticité du droit naturel, la fixité de certains principes à l’évolution de l’évaluation de la mort volontaire (autrement dit à sa reconnaissance). Il est impossible d’affirmer que le droit ne peut pas reconnaître l’euthanasie sous une forme législative. Il faut donc bien voir que la technique rhétorique des adversaires de l’euthanasie consiste à déplacer le débat sur un terrain qui leur est favorable. Par là même, ils assimilent le droit au principe de la protection de la vie et le confrontent à l’euthanasie. En effet, dans chaque discussion, ils éludent la question de l’évaluation éthique des faits pour réduire le débat à l’opposition entre le principe du respect de la vie et celui qui porte atteinte à celle-ci. Leur argumentation vise à confronter deux principes et à résoudre le problème en affirmant que l’un est plus juridique que l’autre. Or, toute question de reconnaissance d’un nouveau droit place en réalité la discussion au niveau de l’évolution ou non de l’appréciation éthique des faits et non pas dans la confrontation d’un principe au droit. Il faut admettre que les principes sont relatifs par essence, comme le contenu du droit, et qu’il est donc impossible de trouver une solution juridique dans leur confrontation. En revanche, une nouvelle évaluation éthique des faits permet de trouver une solution politique. Or, au sujet de l’euthanasie, les faits sont si criants de désespoir que seul un repli idéologique dans le domaine des principes permet à ceux qui refusent sa reconnaissance juridique de tenir leur position. C’est d’ailleurs la méthode récurrente de tous les jusnaturalismes que d’assimiler l’évaluation éthique du droit (position dogmatique) à l’évaluation éthique des faits (position critique en laquelle gît le véritable lieu du débat). Ils font passer le premier jugement pour le second alors que seule l’évaluation éthique des faits offre une solution politique. Ainsi les questions politiques ne se tranchent pas dans l’évaluation éthique du droit, qui ne mène à rien sinon à des solutions péremptoires, mais dans la discussion éthique autour de l’évaluation des faits. Les faits et le droit ne sont pas assimilables dans leur évaluation. Ce n’est pas l’évaluation du droit qui fait évoluer le débat, mais la discussion incessante autour de l’évaluation éthique des faits laquelle, chemin faisant, met en lumière le contenu perpétuellement transitoire du droit.
A l’heure actuelle, il est donc certainement temps de réévaluer les souffrances que subissent ces personnes en fin de vie, et d’en tirer les conclusions politiques au sein d’une loi. Suivant cette méthode, l’avis subjectif (partagé par 88% des français selon un sondage IFOP) issu d’une évaluation éthique – néanmoins personnelle – des faits subis par Chantal Sébire et des 15000 autres décès volontaires clandestins annuels, est celui d’une reconnaissance juridique de l’euthanasie.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Mar 23 Nov - 18:21 | |
| http://www.google.fr/url?sa=t&source=web&cd=17&ved=0CEoQFjAGOAo&url=http%3A%2F%2Fedoctorale74.univ-lille2.fr%2Ffileadmin%2Fmaster_recherche%2FT_l_chargement%2Fmemoires%2Fpersonnes%2Fryckewaertg01.pdf&ei=GtvrTJnyO6CG4gbt1eR1&usg=AFQjCNEzmo4Sj3DZh30gQUV3_ShcYEl0hg&sig2=Y_VAE6trgrJ5gf-35NvhMQ
LE DROIT FACE A L'EUTHANASIE = 99 pages... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Mar 23 Nov - 18:54 | |
| http://www.google.fr/url?sa=t&source=web&cd=38&ved=0CFYQFjAHOB4&url=http%3A%2F%2Fwww.ethique.inserm.fr%2Finserm%2Fethique.nsf%2F937238520af658aec125704b002bded2%2Fcf8229356d729b43c12570a5005150a6%3FOpenDocument&ei=QePrTMPkFtCW4gbh3szHAQ&usg=AFQjCNGz6AlSqNXSCsss5frwcVIIcBJVsA&sig2=95IoZctuJ1dUkJsGRwnfgw |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Mar 23 Nov - 19:10 | |
| En cliquant sur le lien dans le post çi-dessus... on a en apparence une seule page mais en cliquant sur le menu à gauche de la page et aussi en bas de la page... eh bien...c'est tout un roman autour de la fin de vie bonne chance pour les neurones ! ! ! c'est l'éthique médicale rodin université rené descartes citée plus haut il y a de quoi lire et réfléchir...! ! ! ! ! ! je ne sais pas combien çà fait de pages mais c'est très long |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Mar 23 Nov - 19:23 | |
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| | | dan
Nombre de messages : 19 Date d'inscription : 26/11/2008
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Mar 23 Nov - 21:43 | |
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| | | dan
Nombre de messages : 19 Date d'inscription : 26/11/2008
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Mar 23 Nov - 21:46 | |
| houps le message n e s'insére pas ou il faut, c'est une suite de "l'héritage"
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Sam 27 Nov - 18:36 | |
| Définitions de Euthanasie sur le Web :
<LI sb_id="ms__id3142">À l'origine, l'euthanasie (gr: ευθανασία - ευ, bonne, θανατ mort) désigne l'acte mettant fin à la vie d'une autre personne pour lui éviter l'agonieLe '' (TLF) la définit comme une « mort douce, de laquelle la souffrance est absente, soit naturellement, soit par l'effet d'une thérapeutique dans ... fr.wikipedia.org/wiki/Euthanasie <LI sb_id="ms__id3147">Mort donnée à un malade incurable, afin d'abréger ses souffrances fr.wiktionary.org/wiki/euthanasie <LI sb_id="ms__id3152">euthanasier - Tuer en considérant cet acte comme une euthanasie fr.wiktionary.org/wiki/euthanasier <LI sb_id="ms__id3157">" Ensemble des méthodes qui donnent la mort pour abréger une agonie ". Pratique détournée en Allemagne en 1940 pour éliminer les malades mentaux , les handicapés et les malades incurables au nom de l'eugénisme. www.crrl.com.fr/archives/concours/lexique.htm <LI sb_id="ms__id3162">C'est par ce mot que l'on désigne le programme d'assassinat systématique des handicapés mentaux (T 4) sous le IIIe Reich. Ce programme, dénoncé en chaire par Monseigneur Von Galen, évêque de Munster, a été mis en place d'octobre 1939 à août 1941. www.struthof.fr/fr/mediatheque/glossaire/e/ <LI sb_id="ms__id3167">“ Par euthanasie au sens strict, on doit entendre une action ou une omission qui, de soi, et dans l'intention, donne la mort afin de supprimer ainsi toute souffrance. ” (Définition de l'Église catholique, Évangile de la vie n°65) www.amouretverite.org/amour_et_verite/bioethique/lexique <LI sb_id="ms__id3172">mort calme et exempte de souffrances, naturellement ou grâce à l'emploi de substances calmantes ou stupéfiantes. Ce terme désigne actuellement une pratique consistant à précipiter la mort d'un malade incurable pour lui éviter de souffrir. www.hospidroit.net/glossaire <LI sb_id="ms__id3177">Quand il sont devenus improductifs et inutiles (ou impuissants, dans le cas des mâles outils-sexuels et/ou affectés à la reproduction) leurs Tutrices choisissent souvent de leur éviter une vieillesse pénible et dégradante en les amenant au Centre Masculin le plus proche où, sous la surveillance ... www.gynarchy.org/publisher/ebooks/glossairewandine1.htm <LI sb_id="ms__id3182">le débat relancé par la mort de Chantal Sébire se cristallise autour de quelques mots. www.agevillage.com/actualite-1519-1-Fin-de-vie.html
- Thanatos était le dieu de la mort, pourvu d'un cœur de fer et des entrailles d'airain. Il tient une faux, semblant signifier que la vie est moissonnée.
www.formationsantedroit.org/article-26688694.html
Dernière édition par Patricia le Dim 28 Nov - 11:52, édité 5 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Sam 27 Nov - 18:46 | |
| Le suicide (du latin suicidium, du verbe sui caedere « se massacrer soi-même ») est l’acte délibéré de mettre fin à sa propre vie. Dans le domaine médical, on parle aussi d’ autolyse (du grec αὐτο- / auto- « soi-même » et λύσις / lúsis « destruction ») ou de T.S. (tentative de suicide). Pour considérer qu'on est en présence d’un suicide, la mort doit être l’intention de l’acte et non simplement une de ses conséquences. Un attentat-suicide, par exemple, sera considéré comme relevant plus d’une action terroriste ou d'une forme de martyre, selon la personne qui parle, que du suicide. Si le suicide a des conséquences légales, il doit être généralement prouvé qu’il y a eu intention et mort pour que l’acte soit qualifié comme tel selon la loi. Le suicide est un acte complexe, qu'on ne peut pas prétendre approcher avec une seule discipline. C'est pourquoi, lorsqu'on parle de suicide, il est logique de faire appel à la médecine, la psychopathologie, la sociologie, l' anthropologie, la philosophie, la théologie, l'histoire... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Sam 27 Nov - 18:51 | |
| Origine du terme [modifier]L'origine du mot (formé évidemment d'après homicide) est récente : sa paternité est souvent attribuée à un écrit de l' abbé Desfontaines en 1737 ( Observations sur les écrits modernes, t. XI, p. 299) mais dès 1734, l' abbé Prévost parle de suicide dans sa gazette Pour et Contre , ce néologisme latin semblant même avoir été utilisé dès le XVIe siècle par les casuistes pour contrebalancer le mot homicide utilisé jusque-là et jugé trop fort [1]. Voltaire (qui publie, en 1739, Du suicide ou de l'homicide de soi-même) et les encyclopédistes acceptent ce néologisme et le diffusent. Il est adopté par des jurisconsultes, comme Daniel Jousse, qui feront désormais coexister les deux termes au niveau juridique. Quelques définitions [modifier]
- Suicide : acte de mettre fin à sa propre vie.
- Suicidé : personne décédée par suicide.
- Suicidant : personne qui s'est manifestée par un comportement auto-agressif à finalité plus ou moins autolytique.
- Tentative de suicide : acte auto-agressif destiné à mettre fin à sa vie auquel le sujet survit; souvent abrégé en T.S.
- Idéation suicidaire : idée que se fait un individu selon laquelle le suicide pourrait constituer une solution à la situation dans laquelle il se trouve et qu'il juge insupportable ou bien à la douleur morale et à la détresse qu'il éprouve.
- Crise suicidaire : état au cours duquel l'idéation suicidaire devient envahissante[2].
- Suicidaire : « celui qui, sans réaliser un geste directement auto-agressif, multiplie par ses comportements (refus de soins), les situations de risque où parfois sa vie, en tout cas sa santé, peut être mise en jeu »[3].
- Équivalent suicidaire : ce terme recouvre différentes situations : certains refus de soins au cours de maladies graves, certains accidents, ou prises de risques extrêmes, etc[4].
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Sam 27 Nov - 18:56 | |
| Le suicide et la loi [modifier]Il fut des États où le suicide pouvait être condamné par la peine de mort. En France, le suicide n'est plus réprimé depuis le Code pénal de 1810 autrement que par, éventuellement, une hospitalisation d'office (H.O.) préfectorale. [réf. nécessaire]Suicide assisté ou euthanasie [modifier] Machine pour l'euthanasie inventée par le Dr. Philip Nitschke. Articles détaillés : Euthanasie, Législation sur l'euthanasie par pays et Aide au suicide. L' Euthanasie (mort douce) et l' Aide au suicide (exécuter la décision d'un suicidant ou ne pas intervenir sur la situation dans laquelle il s'est mise s'il a clairement exprimé sa volonté) font aujourd'hui (2005) l'objet de débats et de polémiques dans la plupart des pays d'Europe ou d'Amérique du nord. En France, il est actuellement condamné comme homicide. La Loi entérine la réprobation sociale dont le suicide est entaché : l'aide au suicide est prohibée pour « abstention volontaire de porter assistance à personne en péril » (article 223-6 du Code pénal, concept plus connu sous le nom de « non-assistance à personne en danger ») [16]. En 2007, l' Affaire Vincent Humbert a souligné cette particularité du droit français. La Cour européenne des droits de l'homme, dans son arrêt Pretty c. Royaume-Uni du 29 avril 2002, a déclaré à l'unanimité que le suicide n'entrait pour l'instant dans le champ d'aucun droit de l'homme, ni de l' article 2 de la Convention protégeant le droit à la vie : <BLOCKQUOTE>« En conséquence, la Cour estime qu’il n’est pas possible de déduire de l’article 2 de la Convention un "droit à mourir", que ce soit de la main d’un tiers (ou par l'abstention de l'intervention de ce tiers), ou avec l’assistance d’une autorité publique. » </BLOCKQUOTE> Il est autorisé dans des pays comme les Pays-Bas, la Belgique, l' Oregon (aux États-Unis). En Suisse, le code pénal la tolère puisque l'article 115 [17] prévoit de punir l'assistance au suicide si elle est causée par des « motifs égoïstes ». Deux associations suisses, Exit et Dignitas ont été créées dans le but d'aider des malades en phase terminale à mettre fin à leurs jours ou d'empêcher des interventions médicales non souhaitées visant à les ranimer. Délit de provocation au suicide (droit français) [modifier]À la suite de la publication du livre Suicide, mode d'emploi, a été créé en 1987 le délit de « provocation au suicide » (art. 223-13 à 223-15-1 du Code pénal), ayant pour conséquence l'interdiction de publication de l'ouvrage. Suicide et assurances en droit français [modifier]Législation [modifier]En France, l'article L132-7 du Code des assurances dispose [18][19] : L'assurance en cas de décès est de nul effet si l'assuré se donne volontairement la mort au cours de la première année [20] du contrat. L'assurance en cas de décès doit couvrir le risque de suicide à compter de la deuxième année du contrat. En cas d'augmentation des garanties en cours de contrat, le risque de suicide, pour les garanties supplémentaires, est couvert à compter de la deuxième année qui suit cette augmentation. Les dispositions du premier alinéa ne sont pas applicables aux contrats mentionnés à l'article L. 141-1 souscrits par les organismes mentionnés au dernier alinéa de l'article L. 141-6. L'assurance en cas de décès doit couvrir dès la souscription, dans la limite d'un plafond qui sera défini par décret, les contrats mentionnés à l'article L. 141-1 souscrits par les organismes mentionnés à la dernière phrase du dernier alinéa de l'article L. 141-6, pour garantir le remboursement d'un prêt contracté pour financer l'acquisition du logement principal de l'assuré. Jurisprudence [modifier]<BLOCKQUOTE>« Attendu qu'en énonçant qu'aucun élément ne permettait de penser que l'assuré n'avait pas eu la jouissance de sa raison au moment de son suicide, après avoir relevé, d'une part, que son corps avait été retrouvé dans sa voiture garée dans un lieu clos, moteur allumé et l'habitacle relié au pot d'échappement par un tuyau, et d'autre part, que la victime avait laissé à sa veuve une lettre dépourvue d'équivoque quant à ses intentions, c'est sans inverser la charge de la preuve que la cour d'appel a retenu l'existence d'un suicide volontaire et conscient soumis à l'article L. 132-7 du Code des assurances, dans sa rédaction antérieure à la loi n° 98-546 du 2 juillet 1998, qui n'est pas applicable à l'espèce dès lors que le sinistre lui est antérieur ; que le moyen est sans fondement. » </BLOCKQUOTE> |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Sam 27 Nov - 19:00 | |
| Un point de vue historique sur le suicide [modifier]Dans l' Empire romain, il était d'usage qu'un proche de l' empereur désirant mettre fin à ses jours en demande au préalable l'autorisation à ce dernier. On en trouve l'illustration par exemple dans les Mémoires d'Hadrien (qui est une fiction solidement documentée de Marguerite Yourcenar). Dans l' Antiquité, le suicide était commis après une défaite dans une bataille afin d'éviter la capture et les possibles tortures, mutilations ou la mise en esclavage par l'ennemi. Ainsi, au cours de la seconde guerre punique, la princesse carthaginoise Sophonisbe s'empoisonna pour ne pas tomber aux mains des Romains. Brutus et Cassius, les assassins de Jules César, se suicidèrent à la suite de la défaite de la bataille de Philippes. Cléopâtre VII, dernière reine d'Egypte, mit également fin à ses jours pour ne pas être emmenée prisonnière à Rome. Les Juifs de Massada offrent un autre exemple en se suicidant massivement en 74 av. J.-C. pour échapper à la mise en esclavage par les Romains. Dans la société romaine, le suicide était un moyen accepté par lequel on pouvait préserver son honneur. Ceux qui étaient jugés pour des crimes capitaux, par exemple, pouvaient empêcher la confiscation des biens et propriétés familiaux en se suicidant avant la condamnation par le tribunal. On soulignait alors ironiquement que Domitien, l'empereur romain, montrait sa pitié et miséricorde de dieu sur l'amour en permettant à un homme condamné de se suicider. À la fin du XVIIIe siècle, Goethe publie Les Souffrances du jeune Werther ( Die Leiden des jungen Werther), une histoire romantique où le jeune Werther se suicide parce que son amour est inaccessible. Le roman connaît un réel succès et cause une vague de suicides en Allemagne. Le poète Alfred Alvarez publie une étude sur le suicide en littérature intitulée Le Dieu sauvage ; essai sur le suicide. Jean Améry publie un livre, en 1976, sur le suicide où il défend la thèse selon laquelle le suicide représente l'ultime liberté de l'humanité. Il se suicide deux ans plus tard. Notons aussi le seppuku (communément appelé Hara-kiri) des samouraïs qui, par honneur et respect du Bushido, se tuaient pour ne pas être prisonnier ou pour restituer l'honneur de leur famille ou de leur clan, suite à une faute. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Sam 27 Nov - 19:06 | |
| Point de vue anthropologique : les différences culturelles [modifier]Le suicide est perçu assez différemment selon les cultures ; si dans les sociétés occidentales, il a longtemps été considéré comme immoral et déshonorant, il est dans d'autres sociétés justement le moyen de recouvrer un honneur perdu. En Asie, il existe des formes de suicide ritualisé comme les jauhâr et satî indiens. Le seppuku japonais quant à lui est un suicide vu comme une issue honorable face à certaines situations perçues comme trop honteuses ou sans espoir. Typologie du suicide, selon Émile Durkheim [modifier]Émile Durkheim, un des fondateurs de la sociologie, publie en 1897, son fameux livre Le Suicide où il analyse ce phénomène sous un angle social. Il distingue quatre sortes de suicide : le suicide égoïste, le suicide altruiste, le suicide anomique et le suicide fataliste. Dans chaque cas, la désintégration sociale est la cause première véritable. Le suicide « altruiste » [modifier]Il est particulièrement développé dans les sociétés où l' intégration est suffisamment forte pour nier l'individualité de ses membres. L'individu est tellement absorbé dans son groupe que sa vie ne peut exister en dehors des limites de ce groupe. Exemples de suicides « altruistes » :
- Suicide des prêtres de certaines religions ;
- Suicide traditionnel des personnes âgées, devenues un poids pour la famille,;
- Suicide des militaires jeunes retraités.
- Suicide de soldats après une défaite, pour préserver leur honneur (ex: Les Japonais se suicidant à l'aide de grenades pendant leur défaite d'Iwo Jima, lors de la Seconde Guerre mondiale)
Le suicide « égoïste » [modifier]Présence ici, à l'inverse du suicide « altruiste » (voir ci-dessus), d'une intégration faible, d'une individualisation démesurée et qui s'affirme au détriment du moi social, ainsi que d'une désagrégation de la société, au cours d'un vieillissement qui n'offre aucune perspective positique. Il est parfois, mais pas toujours, le symptôme d'une société trop déstructurée pour fournir un motif valable d'existence de qualité à certains de ses individus. C'est, par exemple, le suicide de l'adolescent solitaire. La famille et la religion protègent « en principe » contre ce type de suicide. C'est aussi le cas du vieillard isolé affectivement ou intellectuellement. Le suicide « anomique » [modifier]Le suicide anomique est dû à des changements sociaux trop rapides pour que les individus puissent adapter leurs repères moraux. Le mot « anomie » vient du grec ἀνομία / anomía et signifie « absence de règle, violation de la règle ». Il a été emprunté, dans un premier temps, en philosophie par Jean-Marie Guyau ( 1854- 1888) qui, à la différence des Grecs, l'utilisait de façon positive : l'anomie représente l'affranchissement des limites virtuelles fixées par l'homme. Cependant, le sociologue français Émile Durkheim ( 1858- 1917), en étudiant le comportement suicidaire, l'utilise mais revient sur une vision plus sombre et négative du mot, où la rupture des règles peut être très néfaste au psychisme et conduire au suicide. Il a été montré par des études que le suicide croît de façon proportionnelle aux dérèglements d'ordre social et d'ordre économique : qu'il s'agisse de crises boursières ou d’embellie économique, le taux de suicide augmente car l'individu perd ses repères et ses régulateurs.Ce suicide est donc fréquent dans les groupes sociaux où la régulation est faible. Le suicide « fataliste » [modifier]Le suicide fataliste se définit par la prise en compte par l'individu d'un destin muré, immuable. Il a lieu dans les groupes sociaux où la régulation est forte.
- Suicide du kamikaze, de celui dont l'« avenir est impitoyablement muré ». On retrouve aussi dans cette catégorie le suicide des époux trop jeunes ou celui des esclaves et des prisonniers.
- Sati, en Inde: pratique qui enjoint aux veuves de se placer sur le bûcher où l'on doit brûler le corps de leur mari ; de par la pression sociale elles ne peuvent refuser ce « suicide » et ne choisissent pas toujours consciemment de se sacrifier.
- Commandant de navire qui ne peut envisager la vie sans son bateau et qui préfère couler avec celui-ci.
Distinction sexuelle, selon Durkheim [modifier]Bien que Durkheim ait tenté de fournir des explications sociologiques aux phénomènes qu'il étudiait, il a tout de même inséré des explications, sexistes, biologisantes et naturalisantes de certains comportements sociaux. Par exemple, dans le cas de son étude sur le suicide, il a déclaré que si les femmes se suicidaient moins que les hommes, après un deuil ou un divorce, cela était dû à leur état inférieur de nature, donc à plus d'autonomie de leur part : <BLOCKQUOTE>« Mais cette conséquence de divorce est spéciale à l'homme, elle n'atteint pas l'épouse. En effet, les besoins sexuels de la femme ont un caractère moins mental, parce que d'une manière générale sa vie mentale est moins développée. Ils sont plus immédiatement en rapport avec les exigences de l'organisme, les suivent plus qu'ils ne les devancent et y trouvent par conséquent un frein efficace. Parce que la femme est un être plus instinctif que l'homme, pour trouver le calme et la paix, elle n'a qu'à suivre ses instincts. Une réglementation sociale aussi étroite que celle du mariage et, surtout, du mariage monogame ne lui est donc pas nécessaire. » </BLOCKQUOTE> — Durkheim (1897) Le suicide, page 306. Autres formes de suicide [modifier]Le XX e siècle a connu des suicides de protestation, en particulier par le feu ( bonze Thich Quang Duc protestant ainsi contre la guerre du Vietnam en 1963, étudiant tchèque Jan Palach contre l'occupation de son pays [22]). Le suicide en France d'un jeune ouvrier auquel sa direction voulait interdire de porter les cheveux longs à la fin des années 1960 a été très médiatisé. Enfin, le professeur Alfred Métraux a explicitement indiqué que son suicide avait pour but de signaler les conditions de vie pénibles des personnes âgées dans la société de son époque. |
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| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Sam 27 Nov - 19:13 | |
| Philosophie et suicide [modifier]Article détaillé : Suicide et philosophie. Le suicide est vu bien différemment selon le courant philosophique l'évoquant. Il peut être considéré comme un acte suprême de liberté ou une option de faiblesse et de renoncement, voire de sacrifice. Du point de vue contraire, le suicide est mis en opposition avec l'humanité. En effet, la mort fait partie de la nature. Se donner la mort, c'est donc renier la nature et s'opposer à elle. C'est s'éloigner de son humanité. Pour Platon, qui était alors croyant, la mort était la propriété des Dieux, et des Parques qui coupaient le fil de la vie. Pour Platon, se suicider, c'est donc aller contre la volonté des Dieux… Paul Valéry mentionne dans Tel Quel que le suicide est en général dû à l'impossibilité pour sa victime de supprimer chez elle une idée lui causant souffrance, et à laquelle elle pense donc ne pouvoir mettre fin qu'avec sa propre vie. Pour Jean-Jacques Delfour[23], le suicidant ne peut pas vouloir mourir, puisqu'il ignore ce qu'est la mort, dans le sens où il n'en a pas l'expérience. Le suicide, pour lui, est uniquement une manière de mettre fin à une souffrance. Cependant, s'ils mettent fin à leur souffrance, ils mettent aussi fin à la suppression de cette souffrance et donc n'en bénéficient pas ; et la liberté que l'on a sur sa vie, le pouvoir de se tuer, disparaît avec la vie elle-même, on n'a donc pas l'occasion d'en jouir. Pour lui, il n'y a donc pas à proprement parler de suicide, mais une agression du corps pour laquelle rien n'est venu interrompre le processus mortel. |
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| Sujet: Re: Handicap, euthanasie et justice. Sam 27 Nov - 19:43 | |
| je n'ai pas fait exprès le copier-coller du paragraphe suicide et religions. La France est un pays laïque. Ni le copier-coller de la psychopathologie du suicide.. ... ...ni..ni...etc.. De toute façon,"aide active à mourir" légalisée ou non,la notion de suicide est destinée à évoluer (ou régresser ? ) avec l'époque et le lieu(par ex.au Japon). En parcourant un autre forum,j'ai lu que le meurtre,c'est tuer quelqu'un CONTRE sa volonté,tandis que le suicide assisté,c'est tuer quelqu'un AVEC sa volonté. J'ai aussi lu..de mes propres yeux..noir sur blanc...que des soignants pensent que ce n'est pas leur problème à eux,si les patients veulent mourir,ils n'ont qu'à se démerder eux-mêmes.Bien sûr,ce n'est pas formulé ainsi et je ne peux quand même pas faire le copier-coller ! Mais vraiment je ne peux pas m'empêcher d'ajouter ma petite réflexion. Dans cettte optique,Messieurs les anesthésistes-réanimateurs,vous devriez être un peu moins acharnés,n'est-ce pas ? (le forum en question n'est pas pour les personnes handicapées). D'autant plus que les soignants ont tout à leur disposition pour se suicider eux-mêmes au moment voulu... ... ... ... ...et...pour ne pas se rater évidemment.Entre collègues,c'est facile.. |
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